Allégeance murmurée aux vents du destin
Allégeance murmurée aux vents du destin,
Je me livre, frêle offrande à ton empire,
Ombre docile où s’incline l’écho du serment,
Captive d’un joug que l’âme supplie,
Ton regard effleure l’indicible frisson,
Sillage d’or sur la soie de mes songes,
Ta main s’égare, sculpte l’instant,
Et moi, silence offert à l’éclat de ton règne,